Comme dans les bars enfumés de La Nouvelle-Orléans des années 1920 ou sur les rives du fleuve Sénégal à Saint-Louis, le mot « jazz » a une consonance particulière dans l’ancienne Abyssinie, et surtout l’« éthio-jazz », que l’Ethiopien Mulatu Astatké a inventé dans les années 1960. Plusieurs fois menacé,cette fusion de jazz et de musiques traditionnelles raisonne toujours dans les bars et les hôtels d’Addis-Abeba.

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